Témoignages & Etudes de cas

Grâce au compteur Kiomda nous pouvons mettre en parallèle l’utilisation régulière de la route départementale et celle de la liaison douce. Mais en tout cas nous comprenons mieux nos flux de mobilité locaux, ce qui nous sert de manière générale.

Nous avions identifié des sites vulnérables, nous pouvions presque sur ces sites parler de sur-fréquentation. Disposer de ces données permet le travail pour mettre en place des expérimentations pour préserver les espaces.

Nous gérons entre autres des sentiers touristiques pour le Conservatoire du Littoral, et ces sentiers sont aménagés pour le public. Les chiffres de fréquentation nous servent d’aide à la décision. Nous avons utilisé ces données pour prioriser les zones : en comprenant quels sont les principaux points d’entrée sur les sentiers, ou les points les plus fréquentés, nous pouvons décider où faire intervenir nos services techniques.

Sur un sentier littoral, le comptage automatisé des passages permet d’estimer au plus fin la fréquentation, ce qui permet de justifier les investissements faits auprès du grand public et des élus, et aussi d’estimer l’érosion et la dégradation du sentier par le passage de piétons. Enfin, cela permet de calibrer au mieux les demandes de subventions publiques.

Les compteurs permettent d’estimer la fréquentation de 5 sites naturels touristiques et de mesurer la pression que ces sites subissent du fait des nombreux visiteurs. C’est une base d’arbitrage quantitative qui nous a permis d’affiner notre plan de gestion des sites touristiques naturels.

Suivi à l’aide des Reports, que nous n’exploitons sans doute pas à fond mais qui est vraiment utile pour nous.