10/6/2025
Événements et jauges : comment prouver qu’on fait les choses bien ?
Données de fréquentation et obligation de maîtrise dans l’espace public
Données de fréquentation et obligation de maîtrise dans l’espace public
Concerts, festivals, marchés, journées du patrimoine, événements associatifs ou institutionnels…
De plus en plus d’événements ont lieu dans des espaces ouverts, parfois sans billetterie, ni contrôle d’accès formel. Pourtant, la question de la jauge s’impose. Pour garantir la sécurité, rassurer les autorités ou valoriser son événement, il devient essentiel de connaître et de documenter les flux.
Organiser un événement public, même de taille modeste, implique de répondre à plusieurs obligations réglementaires :
Dans tous les cas, vous devez être en mesure de justifier la jauge prévue, d’en démontrer la maîtrise, et de fournir des données tangibles si nécessaire.
L’estimation “à vue d’œil” ou le comptage par les équipes à l’entrée n’est plus suffisant pour répondre aux attentes des autorités ou des partenaires. En particulier pour les événements en accès libre ou multi-entrées.
Pouvoir quantifier précisément le nombre de personnes présentes à chaque moment, par zone ou par type d’accès, permet de :
Pour faire face à ces enjeux, Kiomda propose une solution de comptage autonome, simple à déployer sur tous types de sites :
Les événements où nos boîtiers sont utilisés révèlent systématiquement des informations inattendues :
Ces données permettent d’adapter immédiatement la signalétique, les effectifs de sécurité ou les animations. Et elles facilitent grandement la préparation de l’édition suivante.
Les données de fréquentation recueillies ont une valeur bien au-delà de l’organisation logistique :
Prouver que l’on maîtrise la jauge, c’est d’abord garantir la sécurité du public, respecter les obligations légales et éviter les mauvaises surprises. Mais c’est aussi valoriser le travail réalisé, gagner en crédibilité auprès des institutions, et professionnaliser la gestion de ses événements.
Avec des outils simples, autonomes et accessibles à tous les types de structures, il est aujourd’hui possible de documenter précisément ce qui relevait autrefois de l’approximation.